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Caractéristiques du manque énergétique ✨

Précédemment, vous avez pu tester votre ancrage. Si vous n’avez pas encore fait le test, c’est ici

Récapitulatif des caractéristiques

principales du manque d’ancrage :


  1. vous sursautez au moindre bruit,

  2. vous êtes extrêmement angoissé à longueur de journée,

  3. vous souffrez régulièrement d’horribles migraines,

  4. vous avez des hallucinations, entendez des voix ou voyez des choses « non conventionnelles »,

  5. vous tombez régulièrement,

  6. vous avez mal aux jambes, vous ne sentez plus vos jambes,

  7. vous avez les articulations fragiles, les chevilles toutes fines,

  8. vous avez des tonnes d’idées, mais vous n’arrivez jamais à les mettre en pratique,

  9. vous êtes extrêmement spirituel et les choses du quotidien ne vous intéressent absolument pas,

  10. vous ne trouvez pas grand intérêt en la Vie,

  11. vous avez toujours les pieds froids,

  12. vous avez un gros problème avec l’argent,

  13. vous n’avez aucune confiance en vous,

  14. vous avez beaucoup de mal à dire non,

  15. vous avez du mal à vous faire respecter… et à vous respecter vous-même d’ailleurs,

  16. il n’y a pas un seul endroit où vous vous sentez en sécurité (sauf, éventuellement, enfermé à double tour chez vous)

  17. vous manquez de confiance en votre corps et avez une tendance à l’hypocondrie,

  18. vous n’êtes pas en sécurité dans votre corps.


Autres caractéristiques possibles

des personnes en manque d’ancrage





• Leur corps énergétique ne « suit » pas le corps physique, il se trouve bien plus haut… Éventuellement, le corps physique s’y est habitué avec le temps. Du coup, les personnes en manque d’ancrage peuvent être très grandes, voire filiformes.

• Elles peuvent être très « mentales », ressassant tout le temps les mêmes choses.

• En les regardant, vous êtes systématiquement attirés par les yeux, le visage, extrêmement brillant, lumineux. L’énergie est concentrée sur les yeux, la tête. Les jambes ne se notent même pas, aucune énergie (ou très peu) n’y circule.

• Elles peuvent avoir souvent l’air absentes, les yeux vides, hagards ou stressés.

• Leurs connaissances ont tendance à les définir comme « constamment dans la lune », voire même « complètement barré ». L’exact opposé de ces deux expressions est justement « enraciné, ancré à la Terre » et « bien présent dans son corps ».


Pourquoi n’est-on pas ancré ?


Il y a plusieurs explications possibles, mais on pourrait (presque) résumer le manque d’ancrage ainsi : la peur !

Comme l’explique parfaitement Barbara Ann Brennan dans ses deux livres, Le pouvoir bénéfique des mains et Guérir par la lumière (cf. bibliographie), l’une des principales raisons du manque d’ancrage peut venir d’une expérience traumatisante à la naissance, juste avant la naissance ou dans les premiers jours de vie.


• Le traumatisme peut venir du rejet ou de l’hostilité directe d’un parent pour le nouveau-né. Il peut aussi être lié à la naissance en elle-même et au processus de l’accouchement. Ce traumatisme peut être réel ou vécu comme tel par l’enfant.

Pour se protéger de la douleur et du rejet ressenti, l’âme de la personne n’aspire qu’à une chose : retourner dans le monde spirituel originel. Elle « choisit » alors de rester hors de son corps ; de ne pas l’habiter complètement. Elle ne se sent pas du tout en sécurité, puisque la première expérience dans son corps a été douloureuse (sur les plans physique ou émotionnel). C’est alors un « système de défense énergétique » qui se met en place pour éviter de sentir à nouveau le rejet, la peur, la douleur, l’angoisse.

Dans nos sociétés occidentales, la séparation de la mère dès les premières minutes de la vie peut contribuer à l’assimilation du rejet dans l’inconscient du nouveau-né. Heureusement, le contact peau à peau et le respect d’un temps de contact entre les parents et le nouveau-né, avant la séparation pour le nettoyage et les examens d’usage, se pratique maintenant de plus en plus dans les maternités. « Le fait de porter le bébé contribue aussi à rassurer le nouveau-né et à éviter ou contrebalancer ce qui pourrait être vécu par « le tout jeune enfant comme du rejet. Les personnes ayant vécu cette blessure ont une très grande capacité à se projeter en dehors de leur corps en cas de danger, perçu ou véritable. Elles peuvent avoir des difficultés à se présenter en public ou à prendre contact avec des personnes inconnues, de peur d’être encore rejetées. Du coup, elles ont tendance à s’exclure elles-mêmes. Le travail d’ancrage aura pour but principal de se sentir en sécurité à tout moment.


• Le traumatisme peut aussi avoir comme origine, lors de la petite enfance, des souvenirs douloureux liés aux dangers physiques : décès d’un parent proche ou d’un membre de la fratrie, accident grave auquel l’enfant a assisté, situation de danger ou de violence directement à son encontre ou même à celui de ses parents. Encore une fois, la violence ressentie peut être physique ou émotionnelle.


D’autres circonstances de vie peuvent aussi provoquer ce manque d’ancrage :


• L’abandon, par exemple. Encore une fois, cet abandon peut être réel ou ressenti comme tel. Dans ce cas, l’enfant aura tendance à développer une forte dépendance aux autres, une nécessité de reconnaissance, une insatiabilité. Il se sentira vide et se « nourrira » de son rapport aux autres. Un travail sur l’ancrage facilitera alors grandement la confiance en soi, le respect de soi-même et de ses besoins, et le sentiment de soutien à tout moment par lui-même et par la Vie.


• La trahison : l’essentiel du manque d’ancrage se situe alors dans le manque de confiance fait à l’autre et à la vie en général. Le travail d’ancrage permettra d’oublier une agressivité latente pour acquérir une nouvelle détente, une relaxation et une nouvelle confiance…


• La blessure d’intrusion peut aussi être à l’origine d’un manque d’ancrage. L’enfant, ne se sentant pas respecté dans ses besoins primaires, s’« évade » énergétiquement de son corps pour retrouver (illusoirement) son monde intérieur. L’ancrage permettra de renforcer les « barrières énergétiques » de l’être, pour qu’il se sente respecté et en sécurité en toutes circonstances.


De manière générale, les sociétés modernes sont beaucoup moins en contact direct avec la nature qu’auparavant, ce qui ne favorise pas l’ancrage.

Enfin, l’ancrage fluctue selon les circonstances. Ainsi, devant un danger ou une situation perçue comme telle (parler en public, par « exemple), une personne en général suffisamment ancrée peut alors perdre ses capacités et avoir besoin de quelques bons conseils pour garder ses moyens. Une peur ponctuelle peut évoluer en « habitude énergétique ». Avec un peu de prise de conscience de son propre fonctionnement, l’ancrage énergétique se travaille très facilement.

Extrait du livre 📕

L'ancrage énergétique 🌳

Mary Laure Teyssedre

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